Organisation des Collectifs Citoyens pour l’Initiative Référendaire

 

Alsace

 

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(référendum d’initiative populaire)

 

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67 – Bas-Rhin

 

Courrier de la « phase I » envoyé à tous les députés du département le 6 novembre 2012. Relance le 16 décembre 2012.

M. Philippe Bies

 

M. Laurent Furst

 

M. Antoine Herth

 

M. Patrick Hetzel

[envoyé le 29 janvier 2013]

Monsieur le Député,

J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre communiqué de presse au sujet du « mariage pour tous », par lequel vous en appelez au référendum en soulignant que « Le peuple français doit pouvoir s'exprimer »

Tout démocrate ne peut qu’approuver votre volonté de recourir à l’outil du référendum pour trancher de manière « civilisée » cette question si controversée.

Cependant, je voudrais attirer votre attention sur le fait qu’en l’état actuel des institutions, seul le Président peut décider d’un référendum, et que M. Hollande a déjà déclaré qu’il n’en était pas question.

Vos efforts sont donc condamnés à l’échec.

Mais il y a un moyen de rendre la parole au peuple et de s’opposer efficacement à certaines mesures votées par l’actuelle majorité parlementaire : déposer une proposition de loi visant à instaurer le référendum d’initiative populaire !

Une tentative en ce sens avait été faite par une soixantaine de députés de votre famille politique en avril 2011… La majorité socialiste pourrait difficilement le rejeter dans la mesure où François Mitterrand l’avait déjà promis en 1988, et à quelques mois des municipales il serait dangereux pour eux de s’opposer à la volonté de plus de 80 % des Français favorables – selon plusieurs sondages – au R.I.P. ! De toutes façons vous trouveriez même des alliés à gauche (comme lors de certains votes récents au Sénat) car le référendum d’initiative populaire est aussi au programme d’EELV, du PRG ou encore du Front de Gauche !

Vos électeurs vous seront certainement très reconnaissants d’aller jusqu’au bout de votre souhait de leur rendre le droit à la parole, au débat, et à la décision ! Recevez mes salutations citoyennes

[réponse le 9 février 2013]

« Cher Monsieur,
Vous avez parfaitement raison: il faut tout faire pour que puisse être mis en œuvre à l'avenir le referendum d'initiative populaire ».

M. Armand Jung

 

M. Frédéric Reiss

 

Mme Sophie Rohfritsch

 

M. André Schneider

 

M. Claude Sturni

 

pbies@assemblee-nationale.fr ; lfurst@assemblee-nationale.fr ; aherth@assemblee-nationale.fr ; phetzel@assemblee-nationale.fr ; ajung@assemblee-nationale.fr ; freiss@assemblee-nationale.fr ; srohfritsch@assemblee-nationale.fr ; aschneider@assemblee-nationale.fr ; csturni@assemblee-nationale.fr ;

 

 

68 – Haut-Rhin

 

Courrier envoyé à tous les députés du département le 27 juin 2012. Relance le 4 septembre à ceux qui n’ont pas répondu. Nouvelle relance le 16 décembre à ceux qui n’ont toujours pas répondu, ou dont la réponse était en défaveur du R.I.P.

 

M. Jean-Louis Christ

 

Aucune réponse malgré une relance le 4 septembre.

Le 9 octobre, J-L Christ a été le seul député du 68 à ne pas voter le T.S.C.G., d’où notre courrier suivant

Monsieur le Député,
Nous avons pris connaissance, à travers le site de l’Assemblée nationale, de votre vote du mois dernier contre le T.S.C.G. négocié par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel visant à imposer à toute l’Europe une austérité budgétaire. Celui-ci constitue non seulement une violation de la souveraineté des États mais encore une absurdité économique qui plongera notre continent dans la récession, comme les prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz et Paul Krugman n’ont pas manqué de le faire remarquer.
Nous imaginons les pressions que vous avez dû subir de la part de votre parti, l’UMP, et nous saluons votre courageuse décision de suivre vos convictions personnelles et d’aller à l’encontre de l’avis de la majorité.
Cependant, il ne vous aura pas échappé que votre vote (de même que celui des dissidents du P.S. ou d’E.E.L.V.) n’a pas empêché l’adoption par l’Assemblée de ce traité calamiteux.
Un certain nombre d’organisations, surtout de gauche, ont demandé au Président Hollande l’organisation d’un référendum sur ce sujet, et 80 000 personnes ont défilé le 30 septembre à Paris pour appuyer cette demande. Vous connaissez la suite. Remarquons au passage qu’il est assez indigne d’une démocratie qui se respecte de devoir mendier un référendum à un Président, quel qu’il soit. Nos voisins suisses décident souverainement des questions à soumettre à référendum et ont seulement besoin de rassembler un certain nombre de signatures sur une pétition pour que leur gouvernement se trouve dans l’obligation de l’organiser. Si une telle procédure existait en France, nous aurions probablement pu éviter l’adoption du T.S.C.G. C’est précisément ce pour quoi milite notre collectif, l’O.C.C.I.R. (Organisation des Comités Citoyens pour l’Initiative Référendaire). Nous vous avons déjà écrit deux fois à ce sujet (fin juin puis début septembre) et sommes assez peinés de n’avoir pas encore eu de réponse – positive ou négative – de votre part. Dans le Haut-Rhin, votre collègue Francis Hillmeyer est pour l’instant le seul à nous soutenir. Mais nous espérons qu’à la lumière des derniers évènements, vous compreniez tout l’intérêt du référendum d’initiative populaire pour préserver notre souveraineté et affronter la crise qui se profile à l’horizon, car nous aimerions vous impliquer dans l’élaboration d’un projet de loi instituant un véritable référendum d’initiative populaire, inspiré du modèle suisse, dans notre pays.
Dans l’attente d’une réponse que nous espérons favorable, nous vous prions d’agréer, Monsieur Christ, l’expression de nos sentiments les meilleurs.

 

Mme Arlette Grosskost

 

[envoyé le 29 janvier 2013]

Madame le Député,

J’ai lu avec beaucoup d’intérêt le billet que vous avez publié hier sur votre blog au sujet du « mariage pour tous », par lequel vous soutenez la démarche de votre collègue Bas-Rhinois le député Patrick Hetzel. Celui-ci souligne que « Le peuple français doit pouvoir s'exprimer et c'est pourquoi nous en appelons au référendum. »

Tout démocrate ne peut qu’approuver votre volonté commune de recourir à l’outil du référendum pour trancher de manière « civilisée » cette question si controversée.

Cependant, je voudrais attirer votre attention sur le fait qu’en l’état actuel des institutions, seul le Président peut décider d’un référendum, et que M. Hollande a déjà déclaré qu’il n’en était pas question.

Vos efforts sont donc condamnés à l’échec.

Mais il y a un moyen de rendre la parole au peuple et de s’opposer efficacement à certaines mesures votées par l’actuelle majorité parlementaire : déposer une proposition de loi visant à instaurer le référendum d’initiative populaire !

Une tentative en ce sens avait été faite par une soixantaine de députés de votre famille politique en avril 2011… La majorité socialiste pourrait difficilement le rejeter dans la mesure où François Mitterrand l’avait déjà promis en 1988, et à quelques mois des municipales il serait dangereux pour eux de s’opposer à la volonté de plus de 80 % des Français favorables – selon plusieurs sondages – au R.I.P. ! De toutes façons vous trouveriez même des alliés à gauche (comme lors de certains votes récents au Sénat) car le référendum d’initiative populaire est aussi au programme d’EELV, du PRG ou encore du Front de Gauche !

Vos électeurs vous seront certainement très reconnaissants d’aller jusqu’au bout de votre souhait de leur rendre le droit à la parole, au débat, et à la décision !

Recevez mes salutations citoyennes.

M. Francis Hillmeyer

(réponse reçue dès le soir du 27 juin 2012)

Bonjour,
Je vous remercie pour vos chaleureuses félicitations. En ce qui concerne la loi Vanneste, je pense qu'il faut attendre la rentrée parlementaire et non la session extraordinaire dans laquelle nous rentrons. Je reste évidemment fidèle à cette idée.
Bien cordialement,
Francis Hillmeyer

[Envoyé le 7 septembre 2012]

Bonjour M. Hillmeyer,
Merci d'avoir répondu favorablement à notre message sur le référendum d'initiative populaire. Nous aimerions beaucoup vous rencontrer afin de discuter avec vous de cette proposition de loi et de la manière dont nous, simples citoyens, pouvons la soutenir et optimiser ses chances d'être bientôt adoptée.
Dans l'attente, et en espérant que nos emplois du temps respectifs permettent de trouver un créneau, nous vous adressons nos meilleures salutations.

Rendez-vous est pris avec M. Hillmeyer pour le vendredi 1er mars 2013.

M. Jean-Luc Reitzer

[a répondu le 7 octobre après relance du 4 septembre]

Chères Mesdames, Chers Messieurs,

J’ai bien pris connaissance de votre récent mail par lequel vous avez tenu à attirer mon attention sur la thématique du Référendum d’Initiative Populaire et je vous en remercie.

J’ai pris bonne note de votre souhait de voir réformées les dispositions actuelles relatives au Référendum Populaire voulu en 2008 par Nicolas SARKOZY, alors Président de la République.

Je considère que la réforme introduite par l’ancien Président est suffisante même si les conditions sont restrictives. J’estime normal que l’ouverture d’une telle démarche soit soumise à un seuil élevé de signatures compte tenu de l’importance des questions qui peuvent être soulevées et des décisions qui pourraient en résulter.

Vous évoquez le modèle suisse en la matière qui est, effectivement, un exemple de Démocratie Participative. Notre système relève de la Démocratie Représentative. Ce sont deux concepts complètement différents dont le bon fonctionnement dépend de nombreux paramètres et caractéristiques que l’on sait très différenciés entre la France et la Suisse.

En d’autres termes, ce qui fonctionne en Suisse n’est pas nécessairement transposable à la France.

Républicain, j’encourage tout un chacun à participer activement à la vie de sa Cité, à la prise de décision.

Chaque citoyen(ne) en âge de voter peut aller librement voter ; chaque citoyen(ne) peut s’investir dans la vie publique en se proposant pour figurer sur des listes aux élections municipales, par exemple ; chaque citoyen(ne) peut s’engager auprès d’une association et contribuer à défendre des causes et participer, par la même occasion, à la prise de conscience quant à une problématique…

Vous l’aurez compris, je pense que de nombreux moyens sont déjà ouverts, en France, dans le modèle que nous connaissons, pour qu’une certaine démocratie participative puisse s’exprimer.

Engageons nous, encourageons les Françaises et les Français à s’engager dans la vie de leur quartier, de leur Commune, de leur Pays. Un référendum d’initiative populaire plus accessible ne permettra pas, selon moi, de mobiliser plus les citoyens.

J’espère avoir pu vous éclairer sur ma position et je vous prie de croire, Chères Mesdames, Chers Messieurs, en l’expression de mes sentiments les meilleurs.

Jean-Luc REITZER

Députe-Maire

[notre réponse du 12 novembre]

Monsieur le député,

Merci d’avoir bien voulu vous donner la peine de répondre à notre mail et de nous exposer les raisons pour lesquelles vous jugez inutile d’instituer dans notre pays un référendum d’initiative populaire tel qu’il existe chez nos voisins suisses.

Mais permettez-nous de vous exprimer notre surprise quant à cette position : en effet, la formation politique à laquelle vous appartenez (et qui est largement majoritaire en Alsace) a averti l’électorat durant toute la campagne des législatives en ces termes : « ne donnez pas tous les leviers du pouvoir aux socialistes ».

Or depuis le lendemain du 17 juin, les socialistes disposent de tous les pouvoirs (l’Elysée, le Sénat et l’Assemblée, sans compter les pouvoirs locaux dans la quasi-totalité des régions). Pourtant, la défaite du président Sarkozy a été moins nette que les sondages ne l’avaient annoncé, et la perte de la majorité à l’Assemblée s’explique notamment par un grand nombre de triangulaires où le Front National s’est maintenu, faisant perdre le candidat UMP. De plus, de nombreux électeurs qui se sont tournés vers le « vote utile » en faveur du P.S. étaient probablement mus davantage par un sentiment d’anti-sarkozysme (le président a battu des records d’impopularité à la fin de son mandat, aggravé encore par le ralliement de F. Bayrou au candidat socialiste) que par une réelle adhésion au programme de ce parti.

Il n’empêche : au cours des cinq prochaines années, toutes les décisions seront prises par un parti qui n’a réuni que 16 à 17 % des inscrits au premier tour de la présidentielle (compte-tenu du fort taux d’abstention et des bulletins blancs ou nuls). Ainsi, notre « démocratie représentative » apparaît finalement comme aussi peu représentative qu’elle est peu démocratique !

Nous apprécions votre encouragement à ce que les citoyens s’impliquent dans la vie politique et participent à la prise de décision à tous les niveaux, mais encore faudrait-il leur en donner les moyens ! Vous soulignez que « de nombreux moyens sont déjà ouverts (…) pour qu’une certaine démocratie participative puisse s’exprimer », mais comprenez qu’il ne suffit pas de donner l’impression aux citoyens de les consulter, s’ils n’ont pas la garantie que leur avis sera effectivement pris en compte ! Et pour cela, il n’y a pas d’autre alternative que de leur donner un réel pouvoir de décision.

Le référendum d’initiative populaire est la seule façon d’éviter que ne soient votées des lois qui n’expriment pas la volonté générale et de se mettre en conformité avec l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Nous pensons qu’il n’y a pas de différence de nature entre les Français et les Suisses, ni avec les autres peuples qui ont choisi d’intégrer une part de démocratie directe dans leurs systèmes politiques, ne serait-ce qu’au niveau local (comme c’est le cas dans certaines villes et Etats fédérés des Etats-Unis, ou certains Länder allemands). Ce serait quand-même un comble que la Nation qui a proclamé à la face du monde le « droit, pour chaque citoyen, de concourrir personnellement à la formation de la loi » ne se l’applique pas à elle-même !

Nous espérons que nos arguments vous amèneront à reconsidérer votre position sur le référendum d’initiative populaire, de sorte que nous puissions vous impliquer dans l’élaboration d’une proposition de loi en ce sens.

Pour approfondir votre réflexion sur le sujet, nous nous permettons de vous conseiller l’ouvrage de J. Verhulst et A. Nijeboer disponible sur internet en suivant ce lien : http://www.workforall.org/drupal/files/verhulst-nijeboer-direct-democracy-fr.pdf

(en particulier le chapitre sur le modèle suisse, p. 50 à 55, et celui sur la réfutation des arguments opposés à la démocratie directe, p. 72 à 87)

Nous vous recontacterons prochainement. Restant à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Député, l’expression de nos sentiments les meilleurs.

 

M. Michel Sordi

 

 

M. Éric Straumann

Bonjour,

La législation actuelle me convient.

Cordialement.

Eric STRAUMANN
Député-Maire de Houssen
Conseiller général du Canton d'Andolsheim

 

Mulhouse, le 7 juillet 2012. (relance le 4 septembre, en l’absence de réponse…) 

« Monsieur le Député,
Merci pour votre prompte réponse à notre mail.
Mais permettez-nous de vous exprimer notre surprise quant à son contenu.
En effet, la formation politique à laquelle vous appartenez (et qui est largement majoritaire en Alsace) a averti l’électorat durant toute la campagne législative en ces termes : « ne donnez pas tous les leviers du pouvoir aux socialistes ».
Or depuis le lendemain du 17 juin, les socialistes disposent de tous les pouvoirs (Élysée, le Sénat et l’Assemblée, sans compter les pouvoirs locaux dans la quasi-totalité des régions).
Pourtant, la défaite du président Sarkozy a été moins nette que les sondages ne l’avaient annoncé, et la perte de la majorité à l’Assemblée s’explique notamment par un grand nombre de triangulaires où le Front National s’est maintenu, faisant perdre le candidat UMP.
Ainsi, au cours des cinq prochaines années, toutes les décisions seront prises par un parti qui n’a réuni que 16 à 17 % des inscrits au premier tour de la présidentielle (compte-tenu du fort taux d’abstention et des bulletins blancs ou nuls), ce qui, reconnaissez-le, n’est pas très démocratique !
De plus, de nombreux électeurs qui se sont tournés vers le « vote utile » en faveur du P.S. étaient probablement mus davantage par un sentiment d’anti-sarkozysme (le président a battu des records d’impopularité à la fin de son mandat, aggravé encore par le ralliement de F. Bayrou au candidat socialiste) que par une réelle adhésion au programme de ce parti.
Voilà pourquoi nous sommes étonnés que vous vous déclariez satisfait par la législation actuelle.
Laisserez-vous les socialistes inscrire dans la loi le vote des étrangers ? Autoriser le mariage et l’adoption pour les personnes de même sexe ? (pour ne prendre que ces deux exemples parmi des dizaines d'autres...)
En l’absence de majorité parlementaire, le référendum d’initiative populaire est la seule façon d’éviter que soient votées des lois qui ne sont pas l’expression de la volonté générale. En voyez-vous une autre ? Avez-vous des appréhensions envers le référendum d’initiative populaire ? Nous aimerions engager le dialogue avec vous sur ce sujet afin de dissiper vos craintes éventuelles.
Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Monsieur Straumann, l’expression de nos sentiments les meilleurs. »

Remarque importante : les exemples choisis (droit de vote pour les étrangers, mariage pour tous) ne l’ont été que parce-que nous nous adressions à un député de l’UMP et que nous voulions mettre en avant des thèmes « sociétaux » pour détourner son attention des problèmes essentiels (les politiques économiques induites par les traités européens) ; il ne s’agirait pas d’en tirer des conclusions hâtives quant à notre position sur ces sujets !

 

jlchrist@assemblee-nationale.fr ; agrosskost@assemblee-nationale.fr ; jlreitzer@assemblee-nationale.fr ; msordi@assemblee-nationale.fr ; estraumann@assemblee-nationale.fr ; fhillmeyer@assemblee-nationale.fr

 

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