Organisation des Collectifs Citoyens pour l’Initiative Référendaire

 

Ile-de-France

 

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75 – Paris

Couriers envoyés le 27 juillet 2012

M. Denis Baupin

 

M. Patrick Bloche

 

M. Jean-Christophe Cambadélis

 

M. Christophe Caresche

 

Mme Fanélie Carrey-Conte

 

M. Pascal Cherki

 

Mme Seybah Dagoma

 

M. Bernard Debré

 

M. François Fillon

(U.M.P.)

A répondu le 31 août : se retranche derrière le pseudo-R.I.P. de 2008, et ajoute "Un projet de loi organique, accompagné d'un court projet de loi ordinaire, a été adopté en conseil des ministres le 22 décembre 2010 puis déposé sur le bureau de l'Assemblée nationale. Il était en cours d’examen par la commission de loi sous la précédente législature mais n’a pu être inscrit à l’ordre du jour des débats en séance publique à l'Assemblée nationale, compte tenu de l’agenda parlementaire particulièrement chargé à l’époque."

M. Claude Goasguen

 

M. Philippe Goujon

 

Mme Danièle Hoffman-Rispal

 

M. Jean-François Lamour

 

M. Jean-Marie Le Guen

(P.S.)

Réponse le 8 octobre : « Cher Monsieur, J'ai bien pris connaissance de votre courrier et vous en remercie. La réforme constitutionnelle de 2008 a prévu de telles consultations mais la précédente majorité n'a pas présenté la loi organique au Sénat. Je partage votre souci de mieux impliquer les citoyens dans le processus démocratique et étudierait avec intérêt tout texte législatif allant dans ce sens. »

M. Pierre Lellouche

 

Mme Annick Lepetit

 

Mme Sandrine Mazetier

 

M. Daniel Vaillant

 

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77 - Seine-et-Marne

Courriers envoyés le 12 novembre

M. Yves Albarello

 

M. Emeric Bréhier

 

M. Jean-François Copé

 

M. Olivier Faure

 

M. Guy Geoffroy

 

M. Christian Jacob

 

M. Yves Jégo

 

Mme Valérie Lacroute

 

M. Jean-Claude Mignon

 

M. Franck Riester

 

M. Eduardo Rihan Cypel

 

yalbarello@assemblee-nationale.fr ; ebrehier@assemblee-nationale.fr ; jfcope@assemblee-nationale.fr ; ofaure@assemblee-nationale.fr ; ggeoffroy@assemblee-nationale.fr ; cjacob@assemblee-nationale.fr ; yjego@assemblee-nationale.fr ; jcmignon@assemblee-nationale.fr ; friester@assemblee-nationale.fr ; erihancypel@assemblee-nationale.fr ; vlacroute@assemblee-nationale.fr ;

 

78 – Yvelines

Courriers envoyés le 15 août 2012

Mme Françoise Descamps-Crosnier

 

M. David Douillet

 

M. Henri Guaino

 

M. Pierre Lequiller

 

M. Jean-Philippe Mallé

 

M. François de Mazières

[reçu le … ]

Monsieur,
J’ai pris connaissance avec une grande attention de votre mail du 15 août dernier par lequel vous me faites part de votre opinion concernant le référendum d’initiative populaire et souhaitez connaître mon avis sur cette question.

Comme vous l’indiquez, la réforme de 2008 a mis en place une initiative populaire qui est partagée avec un cinquième des membres du Parlement. Je comprends que vous puissiez penser que cette réforme n’a pas été totale. Toutefois, il faut avoir à l’esprit que le coût économique d’un référendum est évalué entre 50 et 150 millions d’euros. Vous comprendrez que, dans cette période marquée par un déficit abyssal, une telle réforme pourrait paraître coûteuse même si elle répond plus à l’image que nous nous faisons du système démocratique.
Néanmoins, soyez assuré que si cette question est une nouvelle fois abordée devant notre assemblée, j’y serai particulièrement attentif.
Je vous prie de croire, Monsieur, à l’assurance de ma considération distinguée.
François de Mazières

 

[envoyé le 26 novembre]

Un grand merci pour cette réponse à notre mail. Sachez que nous apprécions énormément votre sens de l’humour. Aujourd’hui encore, la plupart d’entre nous sont secoués d’un incontrôlable fou rire à chaque fois qu’ils se rémémorent votre argument.

Ainsi, la démocratie serait au-dessus de nos moyens !!!

Si on allait jusqu’au bout de cette logique, il faudrait supprimer les élections pour nous épargner le coût faramineux des campagnes électorales (en grande partie à la charge de l’Etat, sauf financements illicites). Je crois savoir que le président Hollande a un héritier mâle, nous pouvons donc tranquillement rétablir la monarchie. Idem pour les parlementaires : la fonction de député ou sénateur pourrait elle aussi devenir héréditaire. Mieux encore : supprimons le parlement ! A quoi bon verser des indemnités à des centaines de députés godillots qui ne font de toutes façons qu’entériner les décisions du gouvernement ? Pour entretenir le mythe d’une séparation des pouvoirs ? Allons donc ! C’est la crise, et tout cela coûte beaucoup trop cher !

Bien, maintenant que nous vous avons fait goûter à notre humour, revenons aux choses sérieuses.

Au lieu de rejeter le référendum d’initiative populaire sur la base du plus faiblard de tous les arguments, son coût, comparons-le à ce que nous coûte son absence, c’est-à-dire au surcoût engendré par notre système purement représentatif.

Toutes les études montrent que les territoires (villes, régions, Etats) où existe le référendum d’initiative populaire sont mieux gérés que les autres. Dans certains cantons suisses, toute dépense publique dépassant un certain seuil doit obligatoirement être approuvée par référendum. A l’inverse, dans notre pays, depuis plus de 30 ans, nos élus votent chaque année des budgets en déficit. Il en résulte une dette colossale de plus de 1800 milliards d’euros qui nous oblige à verser 50 milliards d’euros d’intérêts par an, soit 130 millions par jour.

A ce prix, nous pourrions organiser 1 à 2 référendums TOUS LES JOURS ! La Suisse jouit d’une démocratie tout à fait satisfaisante avec seulement une dizaine de référendums par an. Vous voyez bien que l’absence de démocratie directe est bien plus coûteuse que l’organisation de quelques référendums, et qu’au lieu de focaliser systématiquement sur le déficit budgétaire il est grand temps de s’occuper du déficit démocratique dans notre pays !

Voici donc ce que nous vous proposons : élaborons ensemble un projet de loi sur l’introduction d’un véritable référendum d’initiative populaire en France, que vous vous engagerez à voter lorsqu’il sera présenté à l’Assemblée Nationale puisque vous en serez co-auteur.

Dans l’attente d’une réponse que nous espérons favorable cette fois, nous vous assurons, Monsieur le Député, de nos sentiments les meilleurs.

 

M. Pierre Morange

 

M. Jacques Myard

[envoyé le 24 janvier 2013]

Bonjour M. Myard,
Je reçois depuis un certain temps déjà vos communiqués, et j'ai lu avec beaucoup d'intérêt celui relatif à la manifestation contre le "mariage pour tous".
Au-delà de la bataille de chiffres, on peut déplorer que les citoyens français n'aient pas d'autre moyen de se faire entendre, entre deux élections, que d'aller battre le pavé parisien. Dans une démocratie digne de ce nom, il me semble qu'il y a des façons plus "civilisées" de trancher les conflits : recourir au vote. Et je ne veux pas dire par là : choisir celui qui va prendre toutes les décisions à notre place, mais : prendre directement nous-mêmes les décisions qui nous paraissent essentielles.
Loin de moi de vouloir contester la légitimité de l'actuelle majorité, mais il faut quand-même se rendre à l'évidence : le choix d'un programme politique plutôt qu'un autre n'implique pas forcément l'adhésion à TOUTES les mesures comprises dans ce programme. Les Français doivent pouvoir exclure celles qui leur paraissent les plus inacceptables.
Ainsi, une dose de démocratie directe doit corriger et compléter notre système de démocratie représentative, ce qui implique l'institution d'un véritable référendum d'initiative populaire en lieu et place du référendum d'initiative parlementaire introduit en 2008 (faussement appelé "d'initiative populaire" ou "d'initiative partagée", et qui ne débouche même pas obligatoirement sur un référendum puisque le Président de la République est seul à en décider).
En tant que député de l'opposition dans un pays où la majorité contrôle TOUS les leviers du pouvoir, votre SEULE possibilité de vous opposer EFFICACEMENT est de recourir au peuple. D'où ma question : êtes-vous prêt à déposer une proposition de loi instituant un véritable référendum d'initiative populaire, sachant que cette disposition figure aux programmes de la plupart des partis (notamment EELV, PRG, FDG,...) et que les socialistes pourraient difficilement rejeter cette réforme voulue par 82 à 88 % des Français alors que les élections municipales approchent (et que François Mitterrand l'avait déjà promise il y a plus de vingt ans) ?
Dans l'attente de votre réponse, recevez, Monsieur le député, l'expression de mes sentiments les meilleurs.

Mme Valérie Pecresse

 

M. Jean-Frédéric Poisson

 

M. Arnaud Richard

 

M. Jean-Marie Tetart

 

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91 – Essonne

Courriers envoyés le 12 novembre

M. Malek Boutih

 

M. Carlos Da Silva

 

M. Nicolas Dupont-Aignan

[envoyé le 26 janvier 2013]

"Monsieur le Député,
J'ai lu avec intérêt l'article publié sur votre site le 23 janvier en réaction à la proposition de David Cameron d'organiser avant 2017 un référendum sur le maintien ou non du Royaume-Uni dans l'Union Européenne.
Vous y écrivez notamment "Nous devons saisir l'opportunité pour exiger un référendum dans tous les pays d'Europe d'ici 2017. Un référendum (...) pour dénoncer les traités et construire une Europe des Nations et des projets."
Mais le référendum que vous appelez de vos vœux a déjà eu lieu, souvenez-vous, le 29 mai 2005... Ce qui n'a pas empêché le Parlement de piétiner la souveraineté du peuple français en adoptant, trois ans plus tard, le Traité de Lisbonne !
Un nouveau référendum sur le sujet pourrait connaître le même destin au cas où la réponse ne conviendrait pas à nos dirigeants, si on ne s'assure pas préalablement que c'est bien le peuple qui aura le dernier mot.
Pour cela, il n'y a pas d'autre solution que le référendum D'INITIATIVE CITOYENNE, en toutes matières, y compris constitutionnelle et de ratification des traités.
Accepteriez-vous de participer à cette avancée démocratique majeure consistant à inscrire le référendum d'initiative populaire dans notre Constitution ?
En espérant pouvoir compter sur vous pour résister EFFICACEMENT à cette "dictature bruxelloise" comme vous dites, je vous prie d'agréer, Monsieur le Député, l'expression de mes sentiments les meilleurs."

 

[réponse à mon mail du 26, reçu le 30 janvier]

Cher Monsieur,
Même si en l’occurrence, la stratégie de David Cameron n’est inspirée que d’intentions politiciennes, je pense en effet que son initiative vient à point nommé rappeler à nos gouvernants qu’ils tiennent leur légitimité du peuple et qu’ils doivent le consulter sur les grands enjeux politiques ou sociétaux.
Encore, faudrait-il que, bien sûr, ils respectent le verdict des urnes !le référendum du 29 mai 2005 sur le projet de constitution européenne est l’exemple-type de la trahison du peuple ; malgré les 59% de suffrages qui se sont portés sur le non, le traité de Lisbonne a été adopté 3 ans plus tard par le Parlement…
C’est la raison pour laquelle, comme vous le savez, je milite fermement pour l’organisation d’un référendum sur l’euro (j’avais lancé une pétition à ce sujet, voici quelques mois) et me réjouirais que, grâce à David Cameron, la citadelle Bruxelloise soit enfin ébranlée.
Concernant le référendum d’initiative citoyenne, je vous rappelle qu’il n’est pas applicable tant que les gouvernements successifs diffèrent (délibérément) la publication des décrets d’application du texte.
Veuillez agréer, Cher Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.

 

[Ma réaction à cette réponse, envoyée le 1er février]

Cher Monsieur Dupont-Aignan,
Je vous remercie pour la prompte réponse que vous avez bien voulu donner à mon mail du 26 janvier sur le référendum d’initiative citoyenne.
Permettez-moi d’y réagir afin de dissiper ce qui me semble être un malentendu. En effet, vous y évoquez la réforme constitutionnelle de 2008 pour souligner qu’en l’absence de décrets d’application, on ne peut pas y recourir, ce qui est exact.
Mais il ne s’agit là en aucun cas d’un référendum d’initiative citoyenne, même s’il est parfois désigné ainsi dans les médias (en dernier lieu le 30 janvier par Christophe Barbier dans l'émission C dans l'air) !
Le référendum introduit par cette réforme est parfois improprement appelé « d’initiative partagée ». En fait, il est d’initiative parlementaire (doit être proposé par 20 % des membres du parlement), et après validation par le Conseil Constitutionnel il doit encore recevoir le soutien de 10 % des électeurs inscrits. Malgré ces taux énormes, l’initiative ne débouche pas sur un référendum si le parlement s’en saisit, et il lui suffit d’en discuter sans même procéder à un vote ! C’est seulement s’il ne le fait pas que le Président peut soumettre la question à référendum.
Vous imaginez bien que, même si les décrets d’application avaient été votés, cette réforme ne ferait en rien avancer la démocratie !
Il en va tout autrement du vrai référendum d’initiative citoyenne tel qu’il est pratiqué par exemple en Suisse. L’initiative en revient au peuple seul, et il suffit que la proposition recueille le soutien de l’ordre de 1 à 2 % des inscrits pour rendre le référendum obligatoire. Pour notre pays, on peut bien sûr imaginer d’autre modalités, mais il nous paraît indispensable que le PRINCIPE du référendum d’initiative populaire soit inscrit le plus rapidement possible dans la Constitution. Et plutôt dans l’article 3 que dans l’article 11. On pourrait proposer par exemple la formulation suivante : (la partie modifiée de l’article 3 est en majuscules) « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum D’INITIATIVE CITOYENNE, EN TOUTES MATIÈRES ET NOTAMMENT CONSTITUTIONNELLE ET DE RATIFICATION DES TRAITES ; CET ARTICLE NE PEUT ÊTRE MODIFIE QUE PAR VOIE RÉFÉRENDAIRE. »
Il ne m'a pas échappé que vous avez fait du référendum d’initiative populaire un de vos thèmes de campagne : « Notre pays souffre à juste titre d’un divorce profond entre sa classe politique et le peuple. C’est pourquoi je mettrai en place le référendum d’initiative populaire, afin de permettre aux Français de mieux s’exprimer à tous les échelons de notre vie démocratique. Je m’engage également à consulter les français directement par référendum pour toutes les réformes majeures dont dépend l’avenir de notre pays. »
(Source : http://fr.scribd.com/doc/79005746/Projet-Presidentiel-de-Nicolas-Dupont-Aignan-37-Propositions-pour-une-France-Libre)
Je me permets donc de vous réitérer la question : acceptez-vous de proposer l’introduction du référendum d’initiative populaire dans notre Constitution, de sorte que nos concitoyens puissent (entre autres) résister efficacement aux menaces que cette Europe technocratique fait peser sur notre souveraineté nationale ?
Dans l’attente d’une réponse que j'espère positive, je vous prie de recevoir, Monsieur le Député, mes salutations les meilleures.

 

[Réponse finale de M. Dupont-Aignan, reçue le 5 février]

 

Pour faire suite à notre échange du 30 janvier, je vous confirme être favorable à l’introduction du référendum d’initiative populaire dans notre constitution, en particulier dès lors qu’il s’agit d’adopter des traités qui portent atteinte à la souveraineté de notre pays.

Ce serait le seul moyen de contourner l’hostilité de nos gouvernants - de droite, comme de gauche - à utiliser l’article 11 de la Constitution, voulu par le Général de Gaulle, pour associer le peuple aux grandes décisions qui concernent son avenir. Ce serait aussi et surtout le moyen de soustraire le pouvoir aux technocrates.

Veuillez agréer, cher Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.

 

M. Jérôme Guedj

 

Mme Nathalie Kosciusko-Morizet

 

M. Thierry Mandon

 

M. Franck Marlin

 

Mme Maud Olivier

 

M. Michel Pouzol

 

Mme Eva Sas

 

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92 – Hauts-de-Seine

Courriers envoyés le 6 août

M. Alexis Bachelay

 

M. Patrick Balkany

 

Mme Jacqueline Fraysse

 

M. Jean-Christophe Fromantin

 

M. Jean-Marc Germain

 

M. Jean-Jacques Guillet

 

M. Jacques Kossowski

 

M. Patrick Ollier

 

M. Sébastien Pietrasanta

 

M. André Santini

 

M. Thierry Solère

 

Mme Julie Sommaruga

 

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93 – Seine-Saint-Denis

Courriers envoyés le 12 novembre

M. François Asensi

 

M. Claude Bartolone

 

Mme Marie-George Buffet

 

M. Daniel Goldberg

 

Mme Élisabeth Guigou

 

M. Razzy Hammadi

 

M. Mathieu Hanotin

 

M. Jean-Christophe Lagarde

 

M. Bruno Le Roux

 

M. Michel Pajon

 

Mme Elisabeth Pochon

 

M. Pascal Popelin

 

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94 – Val-de-Marne

Courriers envoyés le 6 septembre. Relance le 6 novembre

Mme Laurence Abeille

 

M. Jacques Alain Bénisti

 

M. Jean-Jacques Bridey

 

M. Gilles Carrez

 

M. Laurent Cathala

 

M. Michel Herbillon

 

M. Jean-Luc Laurent

 

M. Jean-Yves Le Bouillonnec

 

M. René Rouquet

 

M. Roger-Gérard Schwartzenberg

 

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95 – Val-d'Oise

Courriers envoyés le 12 novembre

M. Jean-Pierre Blazy

 

M. Jean-Noël Carpentier

 

M. Jérôme Chartier

 

M. Philippe Doucet

 

M. Philippe Houillon

 

M. Dominique Lefebvre

 

M. Axel Poniatowski

 

M. François Pupponi

 

M. François Scellier

 

M. Gérard Sebaoun

 

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