Bienvenue sur le site de l’O.C.C.I.R. Organisation des Collectifs Citoyens pour l’Initiative Référendaire
Mis en ligne le 26 novembre 2012 – Dernière mise à jour le 13 mai 2014
|
|
Rejoignez-nous sur Facebook
Prenez connaissance des résultats de nos action de 2012 - 2013
Signez notre pétition et adhérez à l’association Article 3, dont la seule revendication est l’inscription du principe du référendum d’initiative citoyenne dans l’article 3 de notre Constitution.
|
Nouveau : 47 députés UMP (et apparentés) ont déposé le 10 octobre 2013 la proposition de loi n° 1457 en vue d’instaurer le référendum d’initiative citoyenne à l’article 3 de la Constitution, suivis le 4 février 2014 par 15 autres députés qui proposent de l’inscrire dans l’article 11 !
Nous avons lancé une opération de « lobbying citoyen » pour soutenir non pas l’UMP ou quelque parti que ce soit, mais le principe de la SOUVERAINETE POPULAIRE et le REFERENDUM D’INITIATIVE CITOYENNE (RIC) qui en est l’outil privilégié. Nous écrivons à tous les députés, avant de prendre rendez-vous avec un maximum d’entre eux dans leurs permanences parlementaires afin de déployer nos arguments.
Participez à l’opération « envoi de courriels » en cliquant ici !
Par ailleurs, les turbulences actuelles dans la majorité PS nous offrent une « fenêtre de tir » pour amener le thème du référendum d’initiative citoyenne afin de trancher les différends et apaiser le climat politique. Donc quelle que soit l’étiquette de votre député, n’hésitez pas à le contacter pour lui parler du RIC !
Qu’est-ce que l’O.C.C.I.R. ?
A vrai dire, l’O.C.C.I.R. n’existe pas encore. C’est un projet, une perspective, un horizon. L’espoir d’une convergence des luttes vers la cause des causes, vers l’origine première des problèmes qui nous tourmentent et nous empêchent, malgré les avancées prodigieuses des sciences et des techniques, de mener l’existence digne et épanouissante à laquelle nous aspirons.
Cette cause première, c’est L’ABSENCE DE VERITABLE DEMOCRATIE dans notre pays et dans toute l’Union Européenne. Election après élection, nous déléguons notre souveraineté à des « représentants » nullement tenus par des promesses électorales qui « n’engagent que ceux qui y croient » comme l’a dit Charles Pasqua. D’innombrables drames – du chômage au changement climatique en passant par les guerres ou les accidents nucléaires – ne sont que les conséquences tragiques de DECISIONS POLITIQUES qui ne sont pas prises dans le souci de l’intérêt général, mais pour servir des intérêts particuliers défendus par les lobbies, et contre lesquelles nous ne pouvons rien.
La seule arme qui nous permettra d’imposer la volonté générale, c’est le REFERENDUM D’INITIATIVE CITOYENNE (ou référendum d’initiative populaire). Il existe en Suisse ainsi que – de manière incomplète – en Italie, dans les Länder allemands, dans la moitié des Etats fédérés des Etats-Unis, mais pas en France où l’idée est pourtant apparue ! (Condorcet, 1793)
Le « noyau dur » de l’O.C.C.I.R. est donc l’association ARTICLE 3, créée en mars 2013, et qui a pour seul et unique objectif l’inscription du référendum d’initiative citoyenne dans l’article 3 de la Constitution de 1958. Elle a vocation à rassembler les millions de citoyens lassés d’être ravalés au rang de simples électeurs et qui tiennent à exercer effectivement leur souveraineté, et à fédérer autour d’elle d’autres associations, syndicats, mouvements citoyens et partis politiques, pour revendiquer cet outil qui est la clé de la démocratie.
Qui suis-je ?
Prof d’Histoire-Géo et d’EDUCATION CIVIQUE dans un collège en Alsace, j’ai menti à mes élèves pendant des années en leur racontant que la France est une démocratie. Pour expier ma faute, je me dois de rendre mon pays vraiment démocratique en procédant de la manière décrite ci-dessus. C’est en mars 2012, au lendemain du vote du M.E.S. (Mécanisme Européen de Stabilité : de la folie furieuse qui met le continent tout entier sous la coupe des banksters) que j’ai commencé à créer mon réseau sur Facebook, que j’ai baptisé « O.C.C.I.R. » En vieux français, le verbe « occire » veut aussi dire trucider. Mais mon intention n’est pas de remettre en service la guillotine, car de nos jours nous avons des moyens plus civilisés de nous débarrasser de la ploutocratie. Le couperet de la votation populaire devrait suffire.
Avec quelques amis, nous avons donc pris contact par mail avec l’ensemble de nos députés pour leur demander ce qu’ils pensent du référendum d’initiative populaire. Très peu nous ont répondu (voir dans la rubrique « résultats », colonne de gauche) mais certains se sont néanmoins déclarés favorables au référendum d’initiative populaire (ce qui ne mange pas de pain).
Mon activisme facebookien a fini par me faire repérer, en décembre 2012 par Yvan Bachaud, qui milite depuis plus de 20 ans pour le RIC (Référendum d’Initiative Citoyenne) Celui-ci, après avoir fondé le R.I.C. (Rassemblement pour l’Initiative Citoyenne, qui a élaboré des modalités d’application originales et présenté des candidats aux élections) était sur le point de créer une association pour défendre le SEUL PRINCIPE du référendum d’initiative citoyenne. (Des enquêtes d’opinion ayant démontré que le soutien des Français à ce principe était maximal, mais commençait à s’affaiblir dès lors que des modalités précises étaient évoquées). Il m’a demandé de faire partie de son Conseil d’Administration, ce que j’ai accepté. C’est ainsi qu’Article 3 est née le 25 mars 2013.
Comment agir ?
Puisque chacun de nos députés reçoit quotidiennement 200 à 300 courriels il est clair que nous n’arriverons à rien simplement en leur écrivant. Il faut les rencontrer face à face, j’ai déjà commencé à le faire près de chez moi (trouvez ici le compte-rendu de mes entretiens de mars-avril 2013 avec M. Francis Hillmeyer et M. Jean-Luc Reitzer). Car l’instauration du référendum d’initiative citoyenne nécessite une modification de la Constitution (de son article 3 plus précisément) et ce pouvoir est exclusivement entre les mains de nos parlementaires ! Il faut donc convaincre nos élus. Beaucoup sont réticents : ils ne lâcheront pas facilement leur monopole de la fabrication de la loi ! Peut-être croient-ils sincèrement que le peuple pourrait prendre des décisions « populistes » ! Mais nos arguments sont imparables… L’issue de la bataille est donc déjà écrite : soit nos élus (députés et sénateurs) nous donneront le référendum d’initiative citoyenne, soit ils feront – par leur refus – la démonstration magistrale de leur hostilité à la DEMOCRATIE, ce qui leur enlèvera toute légitimité. Et l’histoire a maintes fois démontré qu’un système politique privé de légitimité est condamné à disparaître.
Pour « préparer le terrain » à des rencontres… sur le terrain, on peut aussi procéder à des envois massifs de courriels grâce à ces listes d’adresses que j’ai rassemblées ici, permettant d’envoyer la même lettre à l’ensemble des députés.
L’été 2013, nous avons été plus d’une centaine de personnes à interpeller par courriel les 70 membres de la commission des lois constitutionnelles (et plus de 2000 à signer une pétition) pour soutenir la proposition de loi n° 1248 de Nicolas Dupont-Aignan (D.L.R.) visant à instituer le référendum d’initiative citoyenne, afin de faire le « buzz » autour de cet enjeu (les tentatives précédentes furent celles de Christian Vanneste – U.M.P. – en 2011, et André Gérin – P.C.F. – en 1999 et 2002).
Cependant, nous n’avons réussi qu’à attirer l’attention des élus. Pour leur arracher l’outil qui nous permettra d’exercer notre souveraineté, nous devrons être un certain nombre, dotés d’une détermination sans faille et d’une organisation efficace.
|
Contact : recopiez l’adresse du site (occir.free.fr) en remplaçant le point entre occir et free par un @
|